Le chien qui coure derrière sa queue

Publié le par gramophone

Le chien qui courait derrière sa queue

FABLE

par Nestor Elias Ramirez Jimenez

Joigny mercredi 28 janvier 2009


 

Mes plus sincères excuses pour la qualité du texte car le français n'est pas ma langue maternelle.

Dans un exemple criant de vérité; nous pouvons parler de consommation.

L'économie mondiale est comme un très long train. (Dans un but pédagogique a fin d'être compris par les enfants). Le train compté 10 wagons : les wagons de première classé étaient deux et les wagons de deuxième classé étaient huit.

La première classe se trouve toujours à 3/4 vide, la deuxième, est à ¾ pleine.

Pourtant le tarif en première classe est le double voir plus par rapport à la deuxième (normale il y avait bar, restaurant et même des toilettes). Pourtant le train gagne plus d'argent avec les billets de deuxième classe.

Notre train circulait au quotidien entre les pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse; il passait par le phare d'Alexandrie puis en route il était possible d'admirer: le Mausolée d'Halicarnasse, les jardins suspendus de Babylone et le colosse de Rhodes.

Avec les années, le train était de moins en moins pris, par les passager de première classe, au point qu'un jour la société d'exploitation, craignant devoir affronter une crise; (étant donné que les nantis et intellectuels, ne s'intéressent plus à la magnificence du voyage) à commençait à diviser la propriété à mesure que des riches commerçant achetaient parti du capital:

- "ce n'est pas les ignares, gueux et béotiens qui vont continuer à l'emprunter" -

Dit un savant et prix Nobel d'économie de l'époque, membre du conseil d'administration de la société.

En quelques années, les nantis jadis fidèles au train; commencent à faire usage de leurs économies pour voyager dans leur calèches (très modernes, sans point de cheveux, mais de puissantes et bruyantes machines, dotes d'un confort jamais atteint dans les autres pays du monde).

Les bourgeois en question, décident de racheter, chacun une partie de la propriété du train.

Les années passent, nombre de commerçants utilisateurs quotidiens du train, pour d'autres besoins que pour le tourisme et la contemplation; (pour aller d'une ville à l'autre dans leur travail de chaque jour) ont emboîté le pas aux riches, voyant les dividendes, "l'excellente rentabilité". Sauf que leur apport individuel maigre donnait des dividendes aussi maigres! Mais en nombre au but du temps c'est les petits qui disposaient de plus de 75% de la propriété du train. Sauf qu'un des actionnaires avec, lui 8% avait adopté la manie d'associer deux amis, un avec 5% et l'autre avec 4%, pour imposer avec 17% toujours sa volonté! Sans aucune difficulté d'ailleurs.

Cela à été le coup de grâce à la fréquentation du train quotidien entre pyramides de Gizeh et le temple d'Artémis à Éphèse, à la fin de la période; aveuglés par l'ambition, même les gueux avaient devenus des notables actionnaires du somptueux train "Gizeh Éphèse".

Alors 8 wagons devenaient de trop, années plus tard ils ne restaient plus que deux. Même à quatre wagons le train "Gizeh Éphèse" n'avait plus que ¼ de sa capacité, puis de moins en moins, la première classe fut supprimée, mais la fréquentation ne faisait que diminuer.

Aujourd'hui, "du si splendide train", il reste, quelque par dans un cimentier des trains, à peine des vestiges, les huit cents personnes qui travaillant pour son prestige, ont devenu pire que des gueux, on leur trouve ici et là en tant que des mendiants aux guichés des services sociaux, ils perdent leur honneur, ils divorcent, ils se suicident, d'autres meurent en cherchant à fuir la misère, sur des embarcations de fortune, puis avec eux, leurs enfants, leurs femmes.

Ce qui semble très étonnant, c'est que la violence monumentale, qui est avoir perdu le travail, crée des tension, crée le terrorisme, crée des insurgés, mais les médias au service de Boloret and Co., ne peuvent pas parler de toutes les formes de violence! Alors on arrive à trouver en grandes titres (pour vendre leur papier) une poubelle brûlé ici, des gens sans espoir qui s'affrontent inconscients aux forces de police là. Etc. Puis des soudisant gens bien pensants qui ne trouvent JAMAIS un lien entre toutes les formes de misère et l'étonnante rentabilité de l'industrie financière! Il faut le faire quand même!

les nantis eux ont flairait à l'avant le coup et le roi leur aurait même aidé financièrement en guise de dédommagement et vivent dans un pays lointain, dans des palais dignes des rois. Les anciens usagers de deuxième classe, ont perdu leurs économies, et doivent reprendre bientôt des calèches et des chariots avec des vrais cheveux… voilà le texte d'un ignare d'un illettré, c'est bien le cas, car je n'ai pas eu la chance de fréquenter l'école de Charles Magne.

Je vous laisse le soin d'adopter une moralité…
Mes excuses les plus sincères pour l'illisibilité du texte, car je ne sais pas écrire avec cette si belle langue de Voltaire, Molière et tant des grands hommes qui signifient la grandeur de la langue française.

 

 

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